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De Coimbra à Aveiro

 

Jour 14 | 02/06/2017

 

Détour pour faire la visite du couvent de Tomar qui dévoile, au travers de son enchevêtrement de cloîtres, de nombreux styles architecturaux.

L'immensité du site surprend mais ne parvient à nous lasser. Rien à voir avec Batalha.

La restauration du site est une bonne chose... Voilà des trésors qu'il incombe de sauver.

Reprise de notre route initiale vers le Nord en direction de Coïmbra où réside l'une des premières universités.

Le centre ville perché, bien que petit, renferme 3-4 grandes facultés... Autant dire que c'est une ville de jeunes !

On regrettera que les ruelles ne soient pas bordées par davantage de boutiques... Seule la principale, piétonne, en regroupe.

Petite pause autour d'une bière avant de filer rejoindre Aveiro.

C'est là-bas que je décerne la palme de la plus grosse déception ! La soit disante "Venise portugaise" n'est autre qu'une "escroquerie"... Oui il ne suffit pas d'un canal de 20 m de long au sein de sa ville pour se proclamer Venise.

Non loin de là se trouve Cosa Nova sur sa langue de terre, dernier rempart avant l'Atlantique.

La ville est connue pour ses maisons aux rayures colorées : les maisons pyjamas.

Sur des centaines de mètres, les couleurs varient, les formes aussi par moment, mais pas une ne fait défaut le long de la balade.

Le retour par le front de plage nous offre un dernier regard sur l'océan excité par le vent.

Demain toujours direction plein Nord, vers le Portugal médiéval caractérisé par Guimaraes et Bragança avant d'attaquer le retour en France.

Nous profitons donc d'autant plus de ce littoral atlantique, de cet ailleurs, de cette lenteur aussi.

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«Le plus grand voyageur n'est pas celui qui a fait dix fois le tour du monde. Mais celui qui a fait une seule fois le tour de lui-même.»

Gandhi.

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